73110 - Esserts-Blay
Esserts-Blay | |
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Informations | |
Pays | France |
Département | Savoie |
Métropole | |
Canton | 73-03 Albertville-1
73-30 Albertville-Sud (Ancien canton) |
Code INSEE | 73110 |
Code postal | 73540 |
Population | 808 habitants (2016) |
Nom des habitants | les Blaichéraines les Blaichérains |
Superficie | 1551 hectares |
Densité | 52.1 hab./km² |
Altitude | Mini: 345 m |
Point culminant | 2110 m (pointe de la Grande Lanche) |
Coordonnées géographiques |
45.613889° / 6.436389° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Héraldique
D'azur à la tour d'or senestrée d'un pan de mur de même, crénelé comme la tour et ouvert d'un portique sous lequel est une étoile d'or .
La commune a décidé de reprendre comme blason celui de la famille De Riddes qui est une des familles nobles ayant occupé le château.
Histoire administrative
- Département - Savoie
- Arrondissement - Albertville
- Canton - Albertville sud depuis 1978
- Commune - Esserts-Blay code postal 73540
Dénominations anciennes :
Ecclesia de Exteriis alias Essertis (XIVe siècle) cartulaire de Savoie
Castellania Blesii (1535) AVI Nlle série II
Saint-Thomas-des-Esserts (1729) cadastre
Bley (1734) sommaire des fiefs
esserts "essartum": terrain défriché
Blay viendrait de "Blasius" (Blaise) : nom d'homme
Belle pente pour Blay (1794)
Les Esserts pour Saint-Thomas (1794)
Historique d'Esserts-Blay
Au seizième siècle, il existe deux communes : Saint-Paul et Saint-Thomas-des-Esserts.
A ces deux communes, correspondent les deux paroisses de Saint-Paul (en fait Saint-Hyppolyte) et de Saint-Thomas avec chacune leur église paroissiale. La particularité est qu'une partie du territoire qu'elles couvrent, le quartier de Blay, dépend pour le spirituel de la paroisse de Saint-Paul et pour le temporel de la commune de Saint-Thomas.
Le quartier de Blay est définitivement rattaché à la commune de Saint-Thomas à partir de décembre 1794. Cette nouvelle entité communale prend alors brièvement le nom de Saint-Thomas-des-Esserts-et-Blay avant de prendre enfin le nom d’Esserts-Blay en 1801.
Au niveau paroissial, le quartier de Blay continue d'appartenir à la paroisse de Saint-Paul. Ce n'est que le 4 août 1803 que le quartier de Blay est érigé en paroisse indépendante et que la chapelle Saint-Sébastien devient église paroissiale.
Voilà pourquoi, à ce jour, Esserts-Blay est une commune englobant deux paroisses avec deux églises.
1051 – Esserts-Blay fait partie du fief des d’Avalon qui va de la limite de Rognaix à la limite d’Albertville.
« Les Romestang d' Avalon sont la branche la plus savoyarde de cette vieille race et celle qu'illustra saint Hugues d' Avalon, le grand évêque de Lincoln, mort en 1200 » « L'alberge des Avalon en Tarentaise était compact et semble de haute antiquité. Les seigneurs de la rive gauche de l'Isère sont depuis le XIe siècle, des Romestang d' Avalon. ».« La seigneurie de Saint-Paul dont dépendait Blay et Saint-Thomas-des- Esserts, avec le cours de l'Isère et tous les ruisseaux pendants jusqu'à la montagne de Rhonne et à l'Arly ».
(abbé Félix Bernard "Les origines féodales en Savoie et en Dauphiné")
1322 - Guigonnet d’Avalon, fils d'Aymeric III, détient des fiefs à Saint-Thomas-des-Esserts et à Saint-Hippolyte (actuel Saint-Paul-sur-Isère).
1344 - Première mention de la paroisse de Saint-Thomas "de exteriis".
1390 3 juin - François de Salins détient en arrière-fief la seigneurie de Blay.
1420/1440 - Construction du château sous Nicod de Salins.
Il existe une imprécision sur la date de construction du château : la première mention attestant l'existence d'une maison forte à Blay remonte au 28 juillet 1418. A cette date, l’archevêque de Narbonne, François de Conzié, en est investi par le duc de Savoie. D'après un document de 1643, la construction de la maison forte daterait de 1443 environ, à l'époque de Nicod de Salins. Après un incendie survenu soit en 1599 d'après certains documents, soit en 1609 d'après d’autres. En 1641, le seigneur demande que seule la grange soit maintenue en état.
En 1820, le château est acquis par différents propriétaires sans qu'on connaisse précisément la répartition qui est faite entre chacun.
En 1992, une association réunissant des passionnés du patrimoine se crée à Esserts-Blay pour sauver de l'oubli ce château et au moins en consolider les ruines. Une quatrième tour, toute de bois, est construite là où logiquement aurait dû s'élever une tour de pierre. La salle de la aula (longueur : 20 m, largeur : 7 m, hauteur : 7m qui correspond au volume de deux étages d'origine) peut désormais accueillir jusqu'à 200 personnes
1499 5 mars – Un document atteste l'existence d'une église à Saint-Thomas.
1535 15 décembre - Jean de Riddes épouse la dernière héritière de la famille de Salins et acquiert tous les biens de la juridiction de Blay avec le château. On sait qu'il y réside en 1543.
1596 28 avril - Testament d’Antoine-Gaspard de Riddes. Il rédige un second testament le 15 novembre 1615 par lequel il lègue tous ses biens à Gaspard Duverger, fils de sa sœur Thomasine mariée avec Jean Duverger.
1732 16 décembre - Agrément de la mappe sarde, Ce cadastre recense 6226 parcelles, 157 maisons, 287 granges, 109 masures, 7 greniers, 1 château, l'église, le cimetière et la maison de la cure de Saint Thomas, la chapelle saint Sébastien à Blay, 3 moulins, 2 moulins en ruine, 1 scie, 1 pressoir d'huile, 9 fours, 2 places remplies d'eau.
1750 7 juin – Le syndic et les conseillers de Blay délibèrent pour demander la séparation du hameau de Blay d'avec Saint-Thomas dont ils dépendent pour le temporel.
1785 31 juillet – Le conseil de Blay demande à ce que l'entretien du passage sur l'Isère ainsi que la barque qui y est affectée soient pris en charge par la province.
1803 4 août – Sur décision de l'évêque de Chambéry, Blay devient paroisse, la chapelle Saint-Sébastien fondée le 6 septembre 1451 par Nicod de Salins, devient église paroissiale. Elle est agrandie en 1829 et en 1873.
1811 - Construction du bâtiment presbytère et mairie (maison commune et presbytérale)
1860 - Votation pour le rattachement de la Savoie à la France : 203 inscrits, 203 votants, 203 oui.
Vers 1832 – Ouverture du bâtiment de l'école de Saint-Thomas.
1879 13 février - Projet de construction d'une nouvelle école au chef-lieu.
1892 - Reconstruction d'un pont en bois sur l'Isère, au lieudit "La Coutellaz".
En 1927, on le remplace par un pont métallique de type Pigeaud à diagonales en croix de Saint-André, en trois travées de 19,5 m, 22 m et 19,5. Il est reconstruit en béton armé de février à novembre 1982 et inauguré en 1983 m car le 11 octobre 1981, une grosse crue de l'Isère a emporté le pont en fer.
1921 27 août - Incendie à "La Combaz", durant la nuit sept granges et une maison brûlent.
1936/1939 - La "route des Espagnols" (du pont de la Coutellaz au pont Albertin à Grignon) est réalisée par des réfugiés républicains espagnols fuyant le franquisme.
1960/1961 - L'entreprise Robert Denche construit le bâtiment qui abrite la mairie et la salle polyvalente, au chef- lieu, selon les plans de l'architecte Albert Serraz.
1975 – La ferme familiale Mercier (40 vaches), producteur fromager au chef-lieu, transfère son élevage dans la plaine d'Esserts-Blay dans une étable moderne. . La ferme n'a cessé de s'agrandir et compte en 2010 environ 300 vaches laitières. Début 2010, elle installe une unité de méthanisation qui transforme fumier, lisier et petit-lait en électricité.
2005 - Réhabilitation et agrandissement du bâtiment de la mairie. La petite salle polyvalente est supprimée au profit de locaux entièrement réservés à l'usage administratif de la mairie. La bibliothèque municipale est installée à l'étage, où se trouvait l'ancienne salle de réunion du conseil municipal.
Le château
Le Pont de Saint-THOMAS
Après de nombreuses péripéties, le 30 juin 1928, les travaux sont terminés. Le pont métallique de type Pigeaud a une longueur de 68,61 mètres, avec deux travées, l'une de 43 m et l'autre de 20,5 m avec 2,9 m de chaussée. Son poids est de 93,786 tonnes. Il peut supporter une charge maximum de 6 tonnes. (ADS 2 O 1354)
De juin à septembre 2001, on démolit l'ancien, on recalibre le lit de l'Isère et on fait de nouveaux enrochements. On construit l'ouvrage d'art en 2002. Il a une seule portée de 56 m. La chaussée fait 5,5 m de large avec un trottoir de 1,4 m à l'aval. Le pont est métallique avec 2 poutres en I de 2,5 m de hauteur. Tous les 4 m, on a mis des travées perpendiculaires en I métalliques de 79 cm de haut. Le tout (en trois morceaux) a été assemblé sur place et posé par lançage. Le tablier fait 46 cm d'épaisseur.
Patrimoine bâti
Patrimoine d'Esserts-Blay
1420/1440 - Construction du château sous Nicod de Salins.
Plus familièrement appelé "château", cet édifice date de la première moitié du XVe siècle. Les principales familles qui vont le posséder, en même temps que le titre de "seigneur de Blay"sont les de Salins, les de Riddes ) puis les Duverger de Blay. La situation de la maison forte, à l'extrémité d'un verrou glaciaire, lui permet de dominer une partie de la vallée de l'Isère, face à la commune de La Bâthie. Sa forme globale est un quadrilatère disposant de tours rondes sur trois de ses angles.
Avant que d'être en ruine, le bâtiment présente à la fois un caractère défensif par la présence de "bouches à feu" et "d'archères-canonnières" et un caractère résidentiel par différents éléments de confort : cheminées, fenêtres à coussiège dont certaines assez grandes, plusieurs latrines.
Les pièces de service sont au rez-de-chaussée. Dans les étages, il y a au moins deux chambres. L'aula ou grande salle, est la pièce la plus imposante du premier étage. Elle communique avec la cuisine, au nord, et avec la chapelle qui se trouve dans la tour sud. C'est au troisième étage de cette tour sud qu'est le pigeonnier.
Après un incendie survenu soit en 1599 d'après certains documents, soit en 1609 d'après d’autres. En 1641, le seigneur demande que seule la grange soit maintenue en état.
En 1992, une association réunissant des passionnés du patrimoine se crée à Esserts-Blay pour sauver de l'oubli ce château et au moins en consolider les ruines. Une quatrième tour, toute de bois, est construite là où logiquement aurait dû s'élever une tour de pierre. La salle de la aula (longueur : 20 m, largeur : 7 m, hauteur : 7m qui correspond au volume de deux étages d'origine) peut désormais accueillir jusqu'à 200 personnes
5 mars 1499 – Un document atteste l'existence d'une église à Saint-Thomas.
Cette petite église dont on ignore la date de construction, est déjà signalée dans un document du 5 mars 1499, elle fait l'objet de modifications en 1875 notamment par l'adjonction de la sacristie côté nord. Elle a été rénovée durant la dernière décennie du XXe siècle.
Elle est placée sous le vocable de saint Thomas de Cantorbéry et son titulaire est saint Aubin. La légende prétend que lors d'un voyage à Rome, Thomas de Cantorbéry fit halte dans ce hameau et qu'il y passa une nuit.
Le retable majeur, bien que remanié au XIXe siècle, est très largement composé d'éléments de la période baroque. Le tabernacle est daté de 1669, le tableau central de 1659.
Dans le chœur, sur le mur latéral sud se trouve une roue à clochettes qu'on appelle plus traditionnellement trézain ou rouelle.
1744 - Fondation de la chapelle de la Poyat dédiée à saint Etienne, sainte Marguerite et saint Michel, le 6 juillet 1744. Elle est démolie dans les années 1970-80, car elle est en mauvais état et gêne la circulation.
Vers 1758 – Construction de la chapelle Saint-Thomas. Seule chapelle du village, elle est construite près de l'église à la demande du curé de la paroisse. Elle est placée sous les vocables de Notre-Dame de Consolation, saint Barthélémy et saint Pierre de Vérone, martyr. Elle est actuellement très délabrée.
16 mars 1776 – Acte de fondation de la chapelle de la Combaz par Antoine-Cathelin Tellier. Elle est dédiée à saint Antoine de Padoue, à Notre-Dame de l'Europe et à sainte Jeanne-Françoise Frémiot de Chantal.
4 août 1803 – Sur décision de l'évêque de Chambéry, Blay devient paroisse, la chapelle Saint-Sébastien fondée le 6 septembre 1451 par Nicod de Salins,
En 1803, c'est donc la chapelle Saint-Sébastien qui devient église paroissiale sous le même vocable.
En 1828, Charles-Félix autorise l'agrandissement de l'édifice. Il s'agit quasiment d'une reconstruction à neuf. L'architecte en est M. Chiron, l'adjudicataire du chantier est Gabardin. Dès 1832, on constate hélas que le nouvel édifice souffre de malfaçons, notamment au niveau des voûtes, ce qui provoquera par la suite bien des désagréments. Cette nouvelle église est consacrée en juillet 1834 par Mgr Antoine Rochaix. (ADS 4 FS 205, 11FS 184)
A la fin des années 1860, l'église est devenue à nouveau trop petite, devant l'importance de l'investissement financier, on choisit d'agrandir le bâtiment existant. La réception définitive de ces travaux a lieu en octobre 1874 (architecte : Dénarié)
Le maître-autel ainsi que les autels latéraux du Rosaire et du Sacré-Cœur de Jésus datent du dernier quart du XIXe siècle, de même que les vitraux. Le tableau central de l'autel principal "la sagitation (*) de saint Sébastien" date de 1833.
L'élément le plus intéressant de cette église est le vitrail de la rosace surmontant le portail de l'entrée principale. Il est sur le thème de la création du monde. Ce vitrail, contemporain (1990), a été réalisé et offert par Marion Cartier, avec la collaboration des ateliers Chiara de Lausanne.
1811 - Construction du bâtiment presbytère et mairie (maison commune et presbytérale)
Vers 1832 – Ouverture du bâtiment de l'école de Saint-Thomas. Au fil du temps, on remarque les nombreuses réparations du bâtiment, les changements de mobilier pour les élèves et les instituteurs et des demandes de bois (restes des coupes) pour chauffer les écoles. 17 janvier 1954: Réfection de l’école de Saint-Thomas : charpente, maçonnerie, menuiserie. La même année, le conseil municipal décide l’achat d'un terrain pour faire une cour. (ADS1 Z 226). 29 octobre 1959 : Réception définitive de gros travaux à l’école, préau, wc, cour grillagée pour 4 364 378 francs. Les plans sont de l'architecte Albert Serraz. Mais en 1986, l'école de Saint-Thomas, depuis longtemps dotée d'une classe unique, ferme L'école est vendue dans les années 2005/2006, elle est réhabilitée en résidence secondaire.
1860 - Bénédiction de la chapelle de la Fouettaz. Elle a été construite grâce à une souscription et à des corvées. Elle est dédiée à saint Bernard de Menthon. Elle est restaurée partiellement par les volontaires de l'Association de Sauvegarde du Patrimoine d'Esserts-Blay dans les années 2000.
13 février 1879 - Projet de construction d'une nouvelle école au chef-lieu.
21 août 1879 : 58 m3 de bois sont délivrés pour construire la maison d’école qui comporte deux classes et les logements des maîtres.
1880 : Début de la construction de l’école. L'architecte est Eugène Belat, d'Albertville. L'entreprise adjudicataire est celle de Jean-Baptiste Anselmo.
14 novembre 1885: Réception définitive des travaux de construction de l’école. La facture finale s'élève à 27 368.20 francs. (ADS 2 O 1350). 1966 : La cour de l'école est agrandie.
2000 : L'école est entièrement restaurée. Cette rénovation permet la mise aux normes de l'établissement et l'installation au dernier étage du bâtiment d'une première et véritable bibliothèque municipale. La bibliothèque est transférée en 2005 dans les locaux de la mairie.
2012 8 septembre : Inauguration de la nouvelle garderie-cantine d’une capacité maximum de 25 enfants, réservée aux enfants scolarisés dans le R.P.I. et domiciliés dans la commune.
1892 - Reconstruction d'un pont en bois sur l'Isère, au lieudit "La Coutellaz".
En 1927, on le remplace par un pont métallique de type Pigeaud à diagonales en croix de Saint-André, en trois travées de 19,5 m, 22 m et 19,5. Il est reconstruit en béton armé de février à novembre 1982 et inauguré en 1983 car le 11 octobre 1981, une grosse crue de l'Isère a emporté le pont en fer.
LE PONT DE SAINT-THOMAS
Après de nombreuses péripéties, le 30 juin 1928, les travaux sont terminés. Le pont métallique de type Pigeaud a une longueur de 68,61 mètres
De juin à septembre 2001, on démolit l'ancien, on recalibre le lit de l'Isère et on fait de nouveaux enrochements. On construit l'ouvrage d'art en 2002
1936/1939 - La "route des Espagnols" (du pont de la Coutellaz au pont Albertin à Grignon) est réalisée par des réfugiés républicains espagnols fuyant le franquisme.
1960/1961 - L'entreprise Robert Denche construit le bâtiment qui abrite la mairie et la salle polyvalente, au chef- lieu, selon les plans de l'architecte Albert Serraz. En 2005 elle est réhabilitée et agrandie. La petite salle polyvalente est supprimée au profit de locaux entièrement réservés à l'usage administratif de la mairie. La bibliothèque municipale est installée à l'étage, où se trouvait l'ancienne salle de réunion du conseil municipal.
15 août 1983 – Bénédiction de l'oratoire des Mollies, construit suite à la démolition, en 1971, de la chapelle des Cours qui gênait la circulation
1er février 1992 - Création de l'association pour la défense du patrimoine d'Esserts-Blay. Elle va œuvrer durant plusieurs années en organisant des manifestations pour trouver des fonds, destinés à stopper la dégradation du château. L'ensemble des ruines est consolidé par la réalisation de joints en béton afin d'éviter les chutes de pierres.
Église Saint-Sébastien
Repères géographiques
Localisation :
Depuis Albertville, suivre la RN 90 à 2x2 voies en direction de Moûtiers. A La Bâthie, prendre la sortie n° 33 puis le CD 66. Passer sur le pont qui franchit l'Isère et monter au village (2 km).
Esserts-Blay est limitrophe des communes de Tours-en-Savoie, La Bâthie, Saint-Paul-sur-Isère, (en Basse Tarentaise) ainsi que de Monthion, de Grignon et d'Albertville (en Combe de Savoie).
Surface 1551 ha dont 364,5 soumis à l'ONF
Démographie
1770 - La commune compte 719 habitants. On relève 724 hab. en 1801, 618 en 1989, 722 en 2008.
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 168 | 724 | 749 | 836 | ? | 1 008 | ? | 935 | ? | 891 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 887 | 864 | 833 | 808 | 792 | 800 | 772 | 758 | 713 | 697 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 685 | 665 | 638 | 602 | 614 | 646 | 613 | 663 | 590 | 622 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 578 | 615 | 654 | 707 | 752 | 808 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011 & 2013
En photos
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Sébastien Blanc | - | Syndic avant 1860 |
Martin REY | 1860 | |
Alexandre LASSIAZ | 1861-1865 | |
Martin REY | 1865-1871 | |
Sébastien BLANC | 1871-1878 | |
Jean GIROD | 1878-1892 | |
Jean BLANC | 1892-1900 | |
Jean Marie BLANC | 1900-1908 | |
Hippolyte MERCIER | 1908-1920 | |
Alexandre MERCIER | 1920-1925 | |
Joseph Varcin | 1925-1935 | |
Daniel DODET | 1935-1944 | |
Pierre-Elie LASSIAZ | 1944-1954 | |
René BATTENDIER | 1954-1959 | |
Fernand PERRONNIER | 1959-1983 | |
Yvette COLLOMBIER | 1983-1985 | |
Henri LANU | 1985-1989 | |
Jean Louis MOREAU | 1989-1995 | |
Chantal MERCIER | 1995-2001 | |
James DENCHE | 2001-2011 | |
Christophe VALAZ | 2011-2014 | |
Raphaël THÉVENON | 2014-(2020) | |
- | - |
Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
- | - |
Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
Antoine GRINGET | 1803-1805 | |
César HUGONNIER | 1806-1818 | |
Jean Michel MORAND | 1818-1832 | |
Jacques CHENAL | 1832-1843 | |
François-Eugène BOGNIER | 1843-1844 | |
Jean-P GARIN | 1844-1861 | |
Jacques BERLIRE | 1861-1869 | |
Marie-François VALAZ | 1869-1886 | |
Marie-François ARNAUD | 1886-1907 | |
Pierre AIMOZ | 1907-1916 | |
Marie-François ARNAUD | 1916-1919 | |
François Joseph BORREL | 1919-1927 | |
Jean-Pierre BORREL | 1927 | |
Joseph Le GALLO | 1928 | |
M. BONNEFOY | 1929-1932 | |
A. GUILLAUME | 1932-1936 | |
Luc ROUX | 1936-1938 | |
F PELARDY | 1939-1947 | |
CHENAL | 1947-1958 | |
Michel GORRAND | 1959-1996 |
Monument aux morts
Morts des guerres 1914-1918 / 1939-1945
- Article détaillé : Consulter la liste des inscrits sur le Monuments aux Morts ...
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Archives fiscales (1731-1731)
- Archives fiscales (1877-1877)
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
Documents numérisés
- Décès & Mariages & Naissances. AD73 3E 631 (1781-1783)
- Décès & Mariages & Naissances. AD73 3E 631 (1781-1783)
- Décès & Mariages & Naissances. AD73 3E 635 (1789-1792)
- Décès & Mariages & Naissances. AD73 3E 633 (1787-1789)
- Décès & Mariages & Naissances. AD73 3E 625 (1773-1776)
- Décès & Mariages & Naissances. AD73 3E 630 (1778-1780)
- Mariages. AD73 3E 644 (1803-1804)
- Naissances. AD73 3E 648 (1804-1805)
- Décès & Mariages & Naissances. AD73 3E 625 (1773-1776)
- Décès & Mariages & Naissances. AD73 3E 638 (1802-1803)
- Décès & Mariages & Naissances. AD73 3E 628 (1773-1774)
- Décès & Mariages & Naissances. AD73 3E 633 (1787-1789)
- Décès & Mariages & Naissances. AD73 3E 634 (1790-1792)
- Mariages. AD73 3E 639 (1802-1803)
- Décès & Mariages & Naissances. AD73 3E 627 (1782-1787)
- Décès & Mariages & Naissances. AD73 3E 632 (1784-1786)
- Décès & Mariages & Naissances. AD73 3E 627 (1782-1787)
- Décès & Mariages & Naissances. AD73 3E 631 (1781-1783)
- Mariages. AD73 3E 645 (1803-1804)
- Décès & Mariages & Naissances. AD73 3E 636 (1784-1790)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | - | - | 10h-12h | - | - | - | - |
Après-midi | 16h-19h | 15h-18h | - | - | 15h-18h | - | - |
Mairie |
Adresse : - 73540 ESSERTS-BLAY
Tél : 04 79 31 00 75 - Fax : 04 79 31 04 99 Courriel : Contact Site internet : Site officiel GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : http://www.esserts-blay.fr/fr/en-un-clic/contactez-nous/contact.htm (07/2013) |
Associations d'histoire locale
Bibliographie
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
Notes et références